Je vois quand je ne peux plus regarder
J’entends quand je ne peux plus écouter
Je danse quand je ne peux plus marcher
Je chante quand je ne peux plus parler
J’écris quand je ne peux plus dire
Je pars quand je ne peux plus fuir
Je reste quand je ne peux plus souffrir
Je rêve quand je ne peux plus dormir
J’invente quand je ne peux plus rêver
Je ris quand je ne peux plus pleurer
Je prends quand je ne peux plus donner
J’aime quand je ne peux plus fusionner
Je vis quand je ne peux plus mourir
Pré destinée automatique
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Le tremble
s'ouvre aux écailles de la nuit
Demain sera sous-marin
Ses nageoire…
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13 Jan 2011
A pesanteur
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Le moindre de mes pas
porte l'apesanteur de nos instants
Lourdeur insoutenable
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07 Sep 2010
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J'en crève
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parce que c'est où je me nettoie
j'aime l'eau où je me baigne
parce que c'est où je me déshabille
j'aime la montagne que j'écale
parce que je rêve avec elle
j'aime l'horizon que je voie
parce que c'est là que je me perdre
continuellement."
by Armando Taborda, in "SonhoGrafias", Universitária Editora, 2000
C'est pareille, n'est ce pas, chère poète, Anna Mélia?
Anna Mélia has replied to Armando Taborda clubtes mots me font du bien
Ami Poète, ami tout court
Merci
Armando Taborda club has replied to Anna MéliaSign-in to write a comment.