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Pour Béa, je sais que tu aimes !

Bien sûr il y a les guerres d'Irlande Et les peuplades sans musique Bien sûr tout ce manque de tendres Il n'y a plus d'Amérique Bien sûr l'argent n'a pas d'odeur Mais pas d'odeur me monte au nez

Adieu l'Émile je t'aimais bien Adieu l'Émile je t'aimais bien tu sais On a chanté les mêmes vins On a chanté les mêmes filles On a chanté les mêmes chagrins Adieu l'Émile je vais mourir C'est dur de mourir au printemps tu sais Mais je pars aux

Pour Marie et tous ceux qui aiment Brel

Pour Marie, c'est sa préférée et pour tous ceux qui aiment Brel...

Un peu iconoclaste ! mais c'est Brel

A la demande de Gaelle et avec très grand plaisir

A la demande de Béatrice et avec grand plaisir

Triste ? Brel est malade, il le sait à un an de la fin de son chemin sur cette terre !

Brel optimiste

J'en appelle aux maisons Écrasées de lumière J'en appelle aux amours Que chantent les rivières A l'éclatement bleu Des matins de printemps A la force jolie

Un enfant Ça vous décroche un rêve Ça le porte à ses lèvres Et ça part en chantant Un enfant Avec un peu de chance Ça entend le silence

Pour un peu de tendresse Je donnerais les diamants Que le diable caresse Dans mes coffres d'argent Pourquoi crois-tu la belle Que les marins au port

La fille que j'aimera Aura le cœur si sage Qu'au creux de son rivage Mon cœur s'arrêtera La fille que j'aimera Je lui veux la peau tendre Pour qu'aux

https://www.test.ipernity.com/doc/27048/album/ 128785/show

Une mélodie, 2 oeuvres au choix

Pardon pour cette fille Que l'on a fait pleurer Pardon pour ce regard Que l'on quitte en riant Pardon pour ce visage Qu'une larme a changé Pardon pour

Rêver un impossible rêve Porter le chagrin des départs Brûler d'une possible fièvre Partir où personne ne part Aimer jusqu'à la déchirure Aimer, même trop, même

La mort m'attend comme une vieille fille Au rendez-vous de la faucille Pour mieux cueillir le temps qui passe La mort m'attend comme une princesse A l'enterrement de ma jeunesse

Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie Sous des ciels plus légers, pays de paradis

Un bel hommage !!!

Une petite cantate Du bout des doigts Obsédante et maladroite Monte vers toi Une petite cantate Que nous jouions autrefois Seule, je la joue,

Sur le grand bassin du château de l'idole, Un grand cygne noir portant rubis au col, Dessinait sur l'eau de folles arabesques, Les gargouilles pleuraient de leurs rires grotesques, Un Apollon

Parfois ils nous arrivent avec leurs grands chapeaux Et leurs manteaux de laine que suivent leurs troupeaux Les bergers Ils montent du printemps quand s'allongent les jours Ou brûlés par l'été descendent vers les bourgs Les bergers Quand leurs

A voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit, Je finirai, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi. A voir tant d'yeux qui se ferment, couchés dans leur lit, Je finirai par comprendre qu'il faut que je m'endorme aussi. J'en ai connu des

Voici Qu'un ciel penche ses nuages Sur ces chemins d'Italie Pour amoureux sans bagages Voici Des coteaux en

Mon enfance passa De grisailles en silences De fausses révérences En manque de batailles L'hiver j'étais au ventre De la grande maison Qui avait jeté l'ancre

Non Jef t'es pas tout seul Mais arrête de pleurer Comme ça devant tout le monde Parce qu'une demi-vieille Parce qu'une fausse blonde T'a relaissé tomber Non Jef

J'ai découvert ipernity il y a à peu près 2 ans. Mon réseau n'est volontairement pas étendu par manque de temps, mais j'apprécie beaucoup la philosophie de ce site et les moyens qu'il met à disposition de ses membres. Depuis quelque temps j'assiste à

Allez venez! Milord Vous asseoir à ma table Il fait si froid dehors Ici, c'est confortable Laissez-vous faire, Milord Et prenez bien vos aises Vos peines sur mon

Refrain Les pieds dans le ruisseau Moi je regarde couler la vie Les pieds dans le ruisseau Moi je regarde sans dire un mot Les gentils

Dites, dites, si c'était vrai S'il était né vraiment à Bethléem, dans une étable Dites, si c'était vrai Si les rois Mages étaient vraiment venus de loin,