Alors laissez nous ,vivre notre vie !
Le rond point du Roquefort
Rond point ....En route vers le Larzac
Dame Carcas
Carcassonne
Pervenche de Madagascar.
Hôtel de Cabre à Marseille
Ok c’est pas raisonnable…
Attrape pas froid aux yeux ..
Prête.
Au safari de Peaugre en Ardèche
De ces tableaux dont la raison soupire Ôtons nos y…
Le Rhône , tranquille
Et mes souvenirs deviennent .....ce que les vieux…
Je m'engouffre en fumée Dans la fissure
Pleine lune , entre deux fils .
Paisible .
Belles de nuit .
Encore un peu de courage mon petit coeur.....Il va…
Alors viendra Le compte à rebours Sur ces désirs…
Continue ta route , l’avenir c’est toi .
Ah si j’étais un homme …..Lalalala….
Cot cot cot …
Le plus important C'est d'être pas mort.
Bon WE a vous les Amis
A c’ qui parait la nuit tous les stylos sont pris
Quand la femme est grillagée Toutes les femmes son…
Future courgette farcie .
Bon faut que tout rentre ...pour un mois va falloi…
Grosse fatigue .
Ombres et lumière .
Rover aux bois
Sous bois en Ariège .
Je suis droit de l'hommiste !
Quelque part en Ariège
Aux alentours de St Girons
Par la fenêtre .
Le marché a Pisac
Soleil levant .
Il pleure , le saule .
Et puis est reparue La nouvelle saison.
lueur magique
Début de vacances sportives .
Amsterdam
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Rigolez, pas mes camarades. La débandade, C'est pour demain.


youtu.be/tBbECOX2nXo
Il y a dans l'air que l'on respire
Comme une odeur comme un malaise.
Tous les rats s'apprêtent à partir.
Ne vois-tu rien de ta falaise ?
Il y a dans les studios-délires
Comme un vieux son de Carmagnole.
Sœur Anne, si tu n'vois rien venir,
Ou tu es sourde, ou tu es folle.
Il y a dans les années qui viennent
Comme un retour au vent d'histoire,
Un vieux partisan dans la plaine,
Croissant de lune et drapeau noir.
Le vent ne sait plus où il souffle.
Ça tourbillonne ça rend colère,
Le cul posé entre deux gouffres
Beaucoup plus profonds que la mer.
Rigolez pas, mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
J'ai des voyages en cavalcades,
Billet d'avion, chemin de fer.
Je sens monter des barricades
Comme des cailloux dans mes artères.
Je tourne en rond dans ma caverne,
Moitié furieux, moitié soumis
Avec en prime à ma lanterne
Une tristesse indéfinie.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
A la fin des journées qui passent,
Quand on est seul, quand ça va mieux,
Lorsqu'on remet nos rêves en place,
Qu'on s'imagine vingt ans plus vieux,
Quels sont les hommes qui pourront dire :
"On a fait ce qu'on a voulu." ?
Sœur Anne, si tu n'vois rien venir,
C'est plus la peine : on est foutus.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Source : LyricFind
Paroliers : Pierre Delanoe / Jacques Abel Jules Revaud / Michel Charles Sardou
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Il y a dans l'air que l'on respire
Comme une odeur comme un malaise.
Tous les rats s'apprêtent à partir.
Ne vois-tu rien de ta falaise ?
Il y a dans les studios-délires
Comme un vieux son de Carmagnole.
Sœur Anne, si tu n'vois rien venir,
Ou tu es sourde, ou tu es folle.
Il y a dans les années qui viennent
Comme un retour au vent d'histoire,
Un vieux partisan dans la plaine,
Croissant de lune et drapeau noir.
Le vent ne sait plus où il souffle.
Ça tourbillonne ça rend colère,
Le cul posé entre deux gouffres
Beaucoup plus profonds que la mer.
Rigolez pas, mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
J'ai des voyages en cavalcades,
Billet d'avion, chemin de fer.
Je sens monter des barricades
Comme des cailloux dans mes artères.
Je tourne en rond dans ma caverne,
Moitié furieux, moitié soumis
Avec en prime à ma lanterne
Une tristesse indéfinie.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
A la fin des journées qui passent,
Quand on est seul, quand ça va mieux,
Lorsqu'on remet nos rêves en place,
Qu'on s'imagine vingt ans plus vieux,
Quels sont les hommes qui pourront dire :
"On a fait ce qu'on a voulu." ?
Sœur Anne, si tu n'vois rien venir,
C'est plus la peine : on est foutus.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Source : LyricFind
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Les couleurs ici son chaudes et hallucinantes. Magnifique compo !
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